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  • : LE PLANTIS, MON VILLAGE...
  • LE PLANTIS, MON VILLAGE...
  • : Ce blog a pour objectif de faire connaitre un petit village de l'Orne qui se nomme le Plantis et de créer un lien entre ses habitants.
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19 septembre 2023 2 19 /09 /septembre /2023 21:37

L'association est née de passionnés de sports en nature : Coureurs, marcheurs, cyclistes ou cavaliers.
Leur but :
Favoriser la pratique intergénérationnelle et multi activités autour de Courtomer.
Ouvrir ou ré-ouvrir des chemins permettant de relier des itinéraires existants.
Organiser des évènements pour fédérer autour d'une même passion

 

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5 juin 2023 1 05 /06 /juin /2023 11:00

De Mai à Juillet - Formation à votre domicile

« FAUCHER : UN GESTE SIMPLE, EFFICACE ET ECOLOGIQUE »
https://natura-services61.fr/

 Programme :
– Choisir son matériel (lame, manche, pierres à aiguiser, enclumette et marteau).
– Régler son manche et sa la lame
– Battre et aiguiser la lame
– Faucher efficacement sans forcer
– Les différents types de lames
– Pratique de la fauche seul et à plusieurs
– Les différentes utilisations de la faux (couper l’herbe, couper la ronce)
Pendant la formation le matériel est fourni.
Possibilité d’utiliser son propre matériel.
Tarif: 90 € par personne (A partir de deux personnes)
maximum 5 personnes par séance (tarif de groupe).
+ frais de déplacement si plus de 10 km de mon domicile.
→ D’autres renseignements en cliquant ici

 

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8 mars 2023 3 08 /03 /mars /2023 13:58

Damien est agriculteur et pour compléter ses faibles revenus il décide de devenir chauffeur de car scolaire. Quand la direction de l'entreprise change en 2022, elle équipe les élèves de cartes à puce et le véhicule est géolocalisé. Peu de temps après, Damien est licencié.
Récit signé Clément Baudet

Écouter sur le site de France-Culture le témoignage de Damin (70 ans) chauffeur de car licencié pour être trop humain !
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/le-chauffeur-de-bus-et-les-collegiens-1033920

Après avoir été ouvrier agricole, Damien s'installe à son compte, il crée un foyer, a des enfants et très vite la nécessité l'oblige à prendre un deuxième emploi : "On a un revenu extrêmement faible. Il ne faut pas se voiler la face, c'étaient les allocations familiales qui faisaient entrer le plus d'argent dans la famille."

L'occasion se présente de devenir chauffeur de transport scolaire. "Il y a maintenant 25 ans, on avait acheté un minibus qui était suffisamment grand pour emmener bien sûr notre famille, mais aussi les élèves de l'école communale. Il se trouve que la commune voisine cherchait un conducteur pour remplacer son cantonnier qui avait plus de travail dans la commune" se souvient Damien.

Très vite, Damien s'attache à cette activité : "Le transport scolaire, ce n'est pas seulement faire monter les enfants et les déposer, c'est aussi avoir une relation particulière." "C'est une relation presque familiale. Les enfants du car scolaire sont presque mes petits enfants."

Damien adore son métier : "C'est un métier que j'ai toujours trouvé enthousiasmant. C'est un petit peu le prolongement de l'école avant l'école. Le matin, on aide les enfants à se réveiller. Et puis le soir, on chante souvent. Je prends le temps d'expliquer telle ou telle chanson."

En 2005, c'est une entreprise privée qui prend le relais de la commune. L'organisation devient departementale et le travail se déshumanise. "C'est devenu plus rigide, avec une insistance pour appliquer le règlement à la lettre, quand celui-ci, quand c'était communal, était appliqué avec plus de souplesse et d'humanité." Damien

Le métier change totalement. "On avait l'injonction de ne pas faire d'arrêt de complaisance, c'est-à-dire un arrêt pour faciliter la vie des parents. Et la sécurité des enfants, en déposant notamment les enfants au plus proche de leur domicile et non pas dans un endroit qui oblige à marcher au bord de la route." Damien

Pour Damien, c'est une question de bon sens : "Quand il fait encore nuit le matin ou le soir à leur retour, marcher sur le bord de la route est dangereux pour les enfants. Donc, pour leur éviter de courir un danger, je m'arrête toujours au plus proche du domicile des parents."

En 2022, suite à un appel d'offre, un changement plus radical se met en place. "À la rentrée de septembre, le nouveau chef d'exploitation nous a très vite fait comprendre que les relations seraient totalement informatisées. Je n'avais pas conscience que ça signifiait une géolocalisation, c'est à dire un pistage au mètre près et à la seconde près de l'endroit où se trouvait le véhicule" raconte Damien.

Après une convocation à la direction, Damien est sanctionné et menacé d'être licencié. Trois jours après il recoit un coup de fil qui lui annonce son licenciement : "Tout le monde a été bouleversé. Il y avait dans le car des collégiens qui criaient "On veut Damien ! On veut Damien !" Les enfants écrivaient mon nom sur la buée des carreaux. Ça m'a touché énormément. Ça faisait 17 ans que je travaillais sur ce secteur."

Damien décide de se battre : "J'ai eu un soutien énorme et c'est pour ça que je n'ai pas hésité à m'adresser aux Prudhommes, du fait que les nouveaux conducteurs s'arrêtent exactement là où je m'arrêtais, je considère que c'est du licenciement abusif."

Anaïs, mère de 3 enfants, vivant loin de l'arrêt de car, fait partie des parents qui tiennent Damien et défende la qualité de son travail. Elle témoigne. Damien a été le premier chauffeur de bus de Zaïna. Elle raconte combien les choses ont changé depuis que Damien n'est plus là.

Merci à Damien, Jean-Christophe Rouxel, Anaïs, Zaïna et aux habitants des Billanges

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8 mars 2023 3 08 /03 /mars /2023 11:32

La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre dans un ciel serein.
53 chirurgiens et anesthésistes de l’hôpital du Mans ont envoyé une lettre de démission administrative au ministre de la Santé, François Braun. 

Leur raison ? La pénurie de médecins et les fermetures répétées de lits d’hôpitaux, qui ont créé une pression intenable pour le personnel paramédical. Le collectif des médecins démissionnaires reste déterminé à aider leurs patients, mais ils ont décidé de quitter toutes leurs fonctions et responsabilités administratives.

C’est un véritable cri du cœur que les médecins ont adressé au ministre de la Santé, ainsi qu’à l’Agence Régionale de Santé des Pays de la Loire, aux députés et sénateurs de la Sarthe, et au maire du Mans, Stéphane Le Foll, qui préside également le Conseil de surveillance de l’hôpital. Le collectif espère que leur action retiendra l’attention de ces responsables politiques, qui ont le pouvoir de changer les choses.

Le collectif de chirurgiens et anesthésistes démissionnaires raconte une année 2022 difficile, marquée par un afflux de patients généré par les fermetures de services d’urgence en Sarthe et en Mayenne. Avec une moyenne de 80 interventions chirurgicales par jour, le Centre Hospitalier était surchargé. Le personnel paramédical, déjà sous pression, a été soumis à une charge de travail démesurée, avec des patients atteints de pathologies complexes. Faute de personnel en nombre suffisant, la direction de l’hôpital a été contrainte de fermer 60 lits de chirurgie conventionnelle sur 150.

Le manque de personnel a également conduit à la déprogrammation de 110 opérations chirurgicales depuis janvier 2023, certaines concernant des patients atteints de cancer. Le collectif se prépare à réduire de moitié ses activités de chirurgie programmées faute de personnel paramédical en nombre suffisant.

Le collectif de chirurgiens et anesthésistes dénonce également les effets de la loi Rist, qui encadre la rémunération des médecins travaillant en intérim à l’hôpital. Selon eux, cette loi fragilisera encore plus l’hôpital public, qui risque de devoir fermer la moitié de ses salles d’opération faute de pouvoir endormir les malades. Ils rappellent que cette loi ne s’applique pas aux cliniques privées.

Les médecins démissionnaires restent fidèles à leur serment d’Hippocrate et continueront de soigner leurs patients. Toutefois, ils démissionnent de leur fonction administrative, notamment en tant que chef de service et membre des commissions d’organisation.

Le président du Conseil départemental de la Sarthe, Dominique Le Mèner, a écrit au ministre de la Santé pour lui faire part des inquiétudes des médecins. Il a dénoncé une situation qui engendre une perte de chances pour les Sarthois dont les opérations sont déprogrammées, qui ne bénéficient plus des garanties minimales que doit leur apporter un système de soins hospitalier.

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1 novembre 2022 2 01 /11 /novembre /2022 19:16
Avis de décès de Monsieur Bernard DUJIROUARD ancien maire de la commune du Plantis

Gilberte Dujirouard, son épouse;
Eric et Christelle, son fils;
Angèle, sa petite-fille;
Claude et Françoise Nicolas,
son beau-frère et sa belle-soeur;
Christine et Jacky Brulard
et leurs enfants,
Karine Nicolas et Philippe et leur fils,
ses filleules;
Stéphane et Nathalie Nicolas
et leurs enfants, son neveu;
Léone Coeuret,
ont le chagrin de vous faire part du décès de

Monsieur Bernard DUJIROUARD

Ancien maire du Plantis
Ancien combattant FNACA
survenu le vendredi 28 octobre 2022, à l'âge de 80 ans.
La cérémonie religieuse aura lieu
jeudi 3 novembre 2022, à 14 h 30, en l'église du Plantis,

suivie de l'inhumation au cimetière.
Pas de plaques, que des fleurs naturelles.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.

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28 août 2022 7 28 /08 /août /2022 08:25

Les abonnés à l’opérateur historique sont de plus en plus nombreux à être coupés du monde. Selon le député LR Véronique Louwagie, « Orange est dépassé ».
 

 

Dans nos éditions précédentes, nous avons évoqué les problèmes rencontrés par des lecteurs avec leur ligne téléphonique et, par conséquent, leur connexion à internet. Que ce soit à Saint-Martin-d’Ecublei ou à Bocquencé, à chaque fois la panne provoque l’isolement de ces couples de retraités qui finissent par se sentir en danger.

Face à ce désarroi, l’opérateur Orange a visiblement toutes les peines du monde à apporter des solutions. Quand des rendez-vous sont pris avec des techniciens, soit ceux-ci ne viennent pas, soit l’intervention est inefficace. La défaillance perdure, l’angoisse s’installe et les cas aussi déceptifs s’additionnent.

« Nous continuons à payer »

Depuis le 13 juin à Sainte-Gauburge, à La Vieille Poste, Patrick Corel n’a plus de téléphone, plus internet « et donc plus Canal+. Pourtant, nous continuons à payer l’abonnement à Orange et à Canal+ qui ne veut rien faire car il estime que la panne n’est pas de sa faute. Ce qui est vrai ».

Cet habitant pense savoir d’où vient le problème. « D’après ce que nous pouvons savoir, la ligne a été coupée au calvaire quand ils ont installé la fibre ». Ce qui est sûr, c’est que la ligne reste muette et durant toutes ces semaines Patrick Corel et quelques voisins n’ont pas de nouvelles d’Orange. Jusqu’à jeudi de la semaine dernière. « A 7 h 02, nous avons reçu un message sur notre portable pour nous annoncer que le problème va perdurer jusqu’au 9 septembre ».

Malgré nos tentatives d’obtenir des réponses sur la stratégie d’Orange en milieu rural, le silence subsiste. Nous ne sommes pas les seuls à nous interroger.

Trois à quatre fois par semaine, je suis sollicitée par des habitants du territoire pour des problèmes avec Orange et on s’aperçoit que l’opérateur est dépassé dans sa mission d’entretenir les lignes alors qu’il est payé par ses clients pour le faire.

Véronique LouwagieDéputé de l'Orne

« Deux réseaux ne vont pas cohabiter »

Député de la deuxième circonscription, Véronique Louwagie s’inquiète de la situation car « parfois cela concerne des personnes isolées qui peuvent rencontrer des problèmes graves ». Elle ajoute que des travaux à l’Assemblée nationale ont démontré que ces difficultés sont présentes un peu partout en France, « mais Orange dit que c’est anecdotique. C’est faux, on le sait et on observe au contraire que la situation se dégrade d’année en année ».

Les abonnés d’Orange victimes de pannes sur leur ligne émettent parfois une hypothèse pour expliquer cette multiplication des cas.

Ils ne font rien pour nous pousser à prendre la fibre, même si nous n’en avons pas besoin. C’est de l’abus.

Un abonné désabusé

Nous avons clairement posé la question à l’opérateur historique et la réponse ne vient pas.

Véronique Louwagie concède « qu’à terme, c’est-à-dire quand il y aura la fibre partout, on se doute que les deux réseaux ne vont pas cohabiter et les anciens fils vont disparaître. Mais la fibre n’est pas partout, loin de là, et en attendant Orange doit assurer l’entretien de ces lignes. Orange a une obligation de résultat auprès de ses abonnés ».

Article du Réveil Normand du 27 Aout 2022
 

 

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